La photo de rue a ce parfum de liberté qui se décrit difficilement. Le sujet n’est pas identifié à l’avance, ce qui laisse la porte ouverte à toutes les possibilités. Le regard parfois léger, parfois précis, à l’affût du détail ou de la scène qui captera l’attention. Une « balade » toujours enrichissante, rythmée par la météo, l’imprévu. La « golden hour » offre des lumières captivantes… si l’on accepte de se lever tôt.
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